L'Insoutenable apathie de l'être
Indignez-vous avant qu'il ne soit trop tard
A force de laisser se construire un monde dystopique, nous finirons tous par être broyés.
A force de laisser se construire un monde dystopique, nous finirons tous par être broyés.
L'État et le privé ont reculé. Le projet d'aéroport a été abandonné le 17 janvier 2018. Reportage sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes où la vie s'organise désormais avec des rêves et des espoirs, où la lutte prend de nouvelles formes.
Le dossier des "revenants", les djihadistes français partis "sur zone" empoisonne la vie de l'exécutif. La condamnation à mort de 12 d'entre eux rappelle les pires heures des années Bush...
Le vote de lois criminalisant l'avortement est pointé du doigt et les personnes ayant organisé ce happening devant l'ambassade américaine demandent à ce que le droit à l'avortement soit inscrit dans la constitution pour éviter des reculs.
Deux "affaires" ont défrayé la chronique ces derniers jours. La presse fait mine de découvrir et de s'offenser.
Denis Meyer, photographe pour Hans Lucas et membre du collectif de pigistes Extra Muros nous a fait parvenir une série de photos de la journée du 1er mai.
Deux cortèges se faisaient concurrence ce samedi. L'un annonçait la fusion des syndicats et des gilets jaunes et a terminé sa course place d'Italie, l'autre faisait le tour des médias. Entre deux averses, on a papoté avec un policier.
Un pas de plus vient d'être franchi. Le journaliste indépendant Gaspard Glanz a été libéré lundi soir mais il lui est interdit de paraître à Paris les samedis et le 1er mai, ce jusqu'à son procès en octobre.
Répression policière démesurée, lois liberticides, condamnation des instances internationales, la France glisse vers une sorte d'état policier. A qui la faute ?
Depuis son arrestation avant-hier, le réseau s'agite. Les pro et anti arrestation s'écharpent, laissant souvent de côté l'essentiel.
L'exécutif avait prévenu : il ne laisserait rien passer. Après la casse dans le quartier des Champs-Élysées le samedi précédent, il lui fallait regagner une certaine image : celle du rétablissement de l'ordre.
Deux visages pour cette mobilisation du 16 mars : des dégradations très importantes ainsi que des affrontements violents autour des Champs-Elysées et des marches pacifiques vers Opéra et République
Le grand débat national est il une sorte de Canada Dry de la démocratie, un outil d'enfumage ? Ce qui est certain, c'est que pendant que les citoyens débattent, les libertés reculent...
Les cases pour l'investigation à la télévision disparaissent. Dans ce cas, pourquoi ne pas faire nous-mêmes et porter à l'écran des sujets qui nous tiennent à coeur ?
Le Secours Catholique avait prévu de faire remonter la parole des plus démunis à l'occasion du mouvement des gilets jaunes. C'est finalement dans le cadre du grand débat national que cela a été organisé. Reportage.
Pour la première fois depuis le 8 décembre, nous n'avons pu arriver sur les lieux de la manifestation que lorsqu'elle est arrivée à son terme, aux Invalides.
Quel que soit le bout par lequel on prend cette histoire de « Ligue du LOL », il ne ressort que des comportements déplorables traduisant à la fois une vision terrible des relations humaines et une incompréhension totale de ce qu'est Internet, ou de ce qu'il aurait dû devenir.
L'Acte XIII a été marqué par de nombreuses dégradations, de la casse et un blessé grave en début de manifestation, devant l'Assemblée Nationale
Rebelote : la manifestation a fini avec des affrontements violents sur la place de la République. Alors qu'il s'agissait d'une marche pour les blessés, quelques excités ont fait basculer la fin de manif dans des violences (de toutes parts)
Quatre cortèges ont défilé samedi dans les rues de la capitale. Le nombre de manifestants est resté très élevé. Quelques heurts ont opposé manifestants et forces de l'ordre qui ont continué à utiliser les LBD 40.