Julian Assange : ce que dit de nous son arrestation
Nuances de gris
Depuis son arrestation avant-hier, le réseau s'agite. Les pro et anti arrestation s'écharpent, laissant souvent de côté l'essentiel.
Depuis son arrestation avant-hier, le réseau s'agite. Les pro et anti arrestation s'écharpent, laissant souvent de côté l'essentiel.
L'exécutif avait prévenu : il ne laisserait rien passer. Après la casse dans le quartier des Champs-Élysées le samedi précédent, il lui fallait regagner une certaine image : celle du rétablissement de l'ordre.
Deux visages pour cette mobilisation du 16 mars : des dégradations très importantes ainsi que des affrontements violents autour des Champs-Elysées et des marches pacifiques vers Opéra et République
Le grand débat national est il une sorte de Canada Dry de la démocratie, un outil d'enfumage ? Ce qui est certain, c'est que pendant que les citoyens débattent, les libertés reculent...
Les cases pour l'investigation à la télévision disparaissent. Dans ce cas, pourquoi ne pas faire nous-mêmes et porter à l'écran des sujets qui nous tiennent à coeur ?
Le Secours Catholique avait prévu de faire remonter la parole des plus démunis à l'occasion du mouvement des gilets jaunes. C'est finalement dans le cadre du grand débat national que cela a été organisé. Reportage.
Pour la première fois depuis le 8 décembre, nous n'avons pu arriver sur les lieux de la manifestation que lorsqu'elle est arrivée à son terme, aux Invalides.
Quel que soit le bout par lequel on prend cette histoire de « Ligue du LOL », il ne ressort que des comportements déplorables traduisant à la fois une vision terrible des relations humaines et une incompréhension totale de ce qu'est Internet, ou de ce qu'il aurait dû devenir.
L'Acte XIII a été marqué par de nombreuses dégradations, de la casse et un blessé grave en début de manifestation, devant l'Assemblée Nationale
Rebelote : la manifestation a fini avec des affrontements violents sur la place de la République. Alors qu'il s'agissait d'une marche pour les blessés, quelques excités ont fait basculer la fin de manif dans des violences (de toutes parts)
Quatre cortèges ont défilé samedi dans les rues de la capitale. Le nombre de manifestants est resté très élevé. Quelques heurts ont opposé manifestants et forces de l'ordre qui ont continué à utiliser les LBD 40.
Le fabricant du LBD 40 utilisé par les forces de l'ordre sort de son silence, confirmant plusieurs soupçons de Reflets...
La présence policière réduite au strict minimum a permis à la manifestation de se dérouler dans le calme. A peu près 10.000 personnes ont parcouru 16 km dans la capitale.
Depuis début janvier, les femmes ont fait un pas en avant dans le mouvement des gilets jaunes. Après avoir participé à l'acte VIII, elles ont remis le couvert et sont descendues de nouveau dans la rue le lendemain pour mettre en avant une image "inédite" du mouvement. Une image plus pacifique pour contrer la sur-médiatisation de la violence. Pour ramener le débat sur le fond.
La mobilisation ne faiblit pas en ce début d'année. Un long cortège s'est formé entre le boulevard Sébastopol et la place de l’Étoile ce samedi 12 janvier. Une fois arrivés à l’Étoile, les manifestants ont été encerclés par la police et les affrontements ont débuté. Les tirs de LBD 40 dans la tête ont été nombreux.
Selon le décompte partiel du collectif Désarmons-les, douze personnes ont perdu un œil dans la répression du mouvement des gilets jaunes. Quatre ont perdu une main. Les tirs de balles en caoutchouc avec les LBD 40 ne sont pas, contrairement à ce qu'affirme la police, imprécis. Enquête.
On était prévenus par le gouvernement, ceux qui continueraient à manifester seraient des "factieux" et les débordements seraient réprimés "sans concession". Plusieurs milliers de "factieux" ont donc défilé samedi dans les rue de la capitale. Les gaz et les LDB étaient de sortie.
Moins de monde à Paris que les semaines précédentes, mais bien plus que les 800 personnes annoncées en fin de journée par le ministère de l'Intérieur. Toute la journée, les forces de l'ordre ont tenté de briser les groupes de manifestants en les nassant, en utilisant des gaz lacrymogènes.
Quelque 800 personnes à Paris, entendait-on en milieu de journée. On était probablement plus près de 2000 (annoncés en fin de journée). La police a de nouveau nassé, dispersé, gazé des manifestants calmes. Reportage photo...
La gestion de la crise des gilets jaunes repose sur deux pieds : de fausses concessions et une répression violente par les forces de l'ordre. Le gouvernement redoute donc que la police se rebiffe. Jeudi 20 décembre, environ 200 policiers ont manifesté en bas des Champs-Élysées.