Manuel de politique française pour les nuls (3)
La gauche française 1. Les différents courants de la gauche française Terriblement casse-gueule de rassembler tous les courants et idéologies constituant la gauche française en peu de mots.
La gauche française 1. Les différents courants de la gauche française Terriblement casse-gueule de rassembler tous les courants et idéologies constituant la gauche française en peu de mots.
Rien appris... rien du tout... toujours aussi nuls, toujours aussi ridicules, ils reviennent toujours plus bêtes, toujours plus e-gnares. Un internaute vient de nous signaler non pas un courant d'air, mais un boulevard sur un extranet de l'UMP, et pas n'importe lequel. Comme d'habitude tout est parfaitement public, indexé dans les moteurs... pitoyable. On le savait depuis le fameux d0x qui avait révélé de bien étranges choses, comme des fichiers assez détaillés sur les cadres de l'UMP...
Chez Reflets, vous le savez, nous avons un passe-temps un peu vache. C'est celui d'aller fouiner dans un fichier parfaitement public que l'on retrouve à la racine des sites Web et nommé robots.txt. Ce fichier est souvent très instructif puisque son rôle est d'expliquer aux robots des moteurs de recherche d'aller indexer ou pas certaines pages afin que ces dernières soient présentées dans les résultats de recherche.
La droite française 1. Les différents courants de la droite On ne va pas remonter jusqu'à l'après seconde guerre mondiale, c'est un manuel de politique pour les nuls, faut pas pousser non plus. Disons que le Gaullisme s'est arrêté en 1976 avec la création du RPR, ce sera plus simple.
(Parce que certains commentaires laissent penser qu'il y a des lecteurs de Reflets intéressés par la chose politique mais qui ne semblent pas bien maîtriser les fondamentaux historiques des courants de pensées politiques en France, il semble nécessaire de leur offrir ce petit manuel de politique pour les nuls. Vous pouvez envoyer vos dons directement à redaction@reflets.
Le 25 décembre dernier, Stratfor, une agence de renseignement privée d'origine américaine a vu ses données rendues publiques sur Internet suite à un piratage. Wikileaks diffuse une belle quantité d'échanges emails mettant à nu les méthodes à la limite de la légalité de Stratfor. Reflets s'est procuré l'intégralité des documents qui ont fuité. Leur analyse prend du temps mais on y trouve certaines choses pas inintéressantes. Nous nous sommes dans un premier temps, livrés à quelques statistiques.
Je vais et je viens… La presse s’approprierait-elle les paroles de la chanson de Gainsbourg ? Il y avait pourtant de quoi se réjouir ces derniers temps. La presse classique se souvenait que les mots ont un sens et étiquetait clairement les discours de Nicolas Sarkozy comme étant d’extrême droite. Fini le temps où, pudiquement, les journalistes parlaient de « drague des électeurs du Front National », d’un Sarkozy « cherchant à ramener les électeurs du Front National dans le giron républicain ».
Rhétorique quand tu nous tiens... Nicolas Sarkozy a eu, pour la première fois depuis des mois, une vision réelle de ce que la France pense de lui. Jusqu'ici, les services de l'Elysée déployait des efforts indescriptibles et terriblement coûteux pour masquer la réalité au président. La France vous aime monsieur le président, la preuve, elle vous acclame.
En ce moment, sur Reflets, on en voit des vertes et des pas mûres dans certains commentaires. Je pense que vous aurez tous noté que nous censurons le moins possible vos interventions, y compris quand ces dernières se limitent à des torrents d'insultes ou à des positions politiques extrêmes, donc forcément stupides.
Eh, président du peuple, tu t’es vu quand tu autorises la vente de matériel Amesys ? Par ce que in fine, c'est de cela qu'il s'agit. Le gouvernement français autorise, formellement ou en détournant le regard, la vente d'armes numériques à des pays dictatoriaux ou à des régimes policiers. La différence entre les deux types de système est faible car en bout de course, le policier qui interroge le suspect lui fait à peu près aussi mal. La douleur est là. Le saviez-vous ?
De droite, de gauche, du centre, tous se lamentent… Et si Marine Le Pen n’obtenait pas ses 500 signatures… Ce serait grave, disent-ils. Grave comment ? D’une part, il ne faut pas perdre de vue qu’à chaque élection ou presque, papa Le Pen entonnait la même petite chanson : le FN est ostracisé, on ne veut pas me donner les 500 signatures, je risque de ne pas pouvoir me présenter, la démocratie, toussa… Mais à chaque fois, il parvenait à les réunir.
(Il y a des choses qui ne trompent pas, des signes des temps, des slogans, des discours et des revendications politiques qui ne peuvent que résonner étrangement à nos oreilles. Comme quoi, rien ne se perd, tout se recycle…) C'est étrange. Enfin non, pas vraiment. Mais quand même, on se pose question. Ou alors c'est de la bêtise, ou une méconnaissance de l'histoire et un rapprochement idéologique non-maîtrisé ? Venons-en aux faits : la campagne de Nicolas S.
Voilà, c'est fait. Un candidat à la présidentielle a eu le courage de faire face au visage caché du numérique Français, lors d'un débat organisé au siège du Modem et animé par Richard Menneveux de FrenchWeb. Sous les projecteurs se sont retrouvés autour de François Bayrou : Gilles Babinet, président du Conseil National du Numérique (CNNum), Marc Simoncini, fondateur de Meetic, Céline Lazorthes, fondatrice de Leetchi et Fabrice Epelboin (c'est moi), de Reflets.info.
Dans à peu près deux mois nous allons tous faire une grosse connerie : élire un homme politique médiocre ou incapable qui réglera ses problèmes et ceux de ses amis, mais certainement pas les nôtres. Le choix qui se profile est à chaque élection plus terrible. Le niveau baisse, comme on dit... Ou pas. Quoi qu'il en soit, il va falloir choisir entre l'extrême droite classique (le FN), la nouvelle extrême droite (l'UMP), la droite (le PS et le Modem), la gauche (EELV, Mélenchon, etc.).
Coucou... C'est mardi... Le mardi, c'est permis. Séquence décryptage... Pendant son discours au Bourget, François Hollande avait déclaré que son ennemi, c'était la finance. «Mon véritable adversaire, c'est la finance» Et son équipe de spécialistes du Web 2.0, se réjouissait : Romain Pigenel incite, lui, les participants à mettre en valeur les propos de François Hollande sur la finance car ils ont été «très bien reçus» à la gauche du PS.
"Jean-Luc, si je t'écris aujourd'hui, c'est parce que j'ai eu une arrière grand-mère communiste. Elle adorait Georges Marchais. Mais je suis certain qu'elle aurait pu t'apprécier. Ou te détester. Pourquoi ? Parce que mémé, elle était communiste, et qu'elle n'accordait aucune confiance aux socialistes ! Oui, tu as longtemps été socialiste.
Nous apprenions récemment le soutien de Mahmoud Ahmadinejad à son homologue syrien, Bachar El Assad. Mais il semblerait que le soutien ne soit pas uniquement moral, il serait également militaire. Une source anonyme nous a fait parvenir aujourd'hui des photos attestant de la présence de soldats ou de mercenaires iraniens en sol syrien. Ces derniers se battraient aux côtés des forces de Bachar El Assad.
(Comment en est-on arrivé là ? Comment la classe politique, la justice, les médias peuvent-ils accepter que des propos pareils puissent être relayés, commentés, et au final servir un camp politique qui demande désormais des excuses à un parlementaire du camp opposé qui a eu le "malheur" de réagir ?
(Elle les a bien rouges et bien visibles, et si elle ne les porte pas haut perchées sur le nez, elle les tient fermement dans la main : la candidate verte ne se sépare jamais de ses lunettes rouges.
(Le candidat socialiste est le premier surpris des intentions de vote à son égard, mais comment faire, dans une monarchie républicaine, pour convaincre le maximum d'électeurs, quand on n'a pas de véritable programme d'envergure, le charisme d'une mouette et l'énergie d'un bernard l'hermite ?) François ! François ! Présid… nan on a du mal à y croire, ça fonctionne moyen.