Passer la droite décomplexée par les urnes (1)
Pourquoi une nouvelle chronique électorale ? Il peut sembler, de prime abord, que le marché est déjà saturé. Impossible d'allumer sa télé sans tomber sur un plateau de politologues prêts à discuter, des heures durant, autour d'un simple pourcentage ( à deux chiffres après la virgule, concédons-le ) censé représenter la sainte « opinion publique ».