Surprise : la Commission européenne cliente de Nexa Technologies en 2015
L'entreprise (ex-Amesys) était pourtant déjà visée par une enquête pour complicité de torture
La Commission européenne, qui prônait plus de démocratie en réaction au Printemps arabe, a retenu Nexa Technologies sur un appel d'offres en 2015. Date à laquelle la société faisait déjà l'objet d'une information judiciaire devant le pôle spécialisé dans les crimes de guerre, crimes contre l'humanité et génocide au tribunal à Paris.