Gloubi-boulga intellectuel
Les derniers articles de Yovan Menkevick ont attiré une nuée de commentaires. Résumons. On ne peut pas parler de sectes quand on parle de micro-courants politiques. On ne peut pas dire que leurs leaders se fourvoient quand ils fricotent avec des gens ouvertement placés à l'extrême-droite. Et pourquoi ? Parce que chez un homme, même d'extrême-droite, il pourrait y avoir de bonnes idées, et même s'il soutient un révisionniste ou un antisémite. Et puis quoi, merde, on est plus à la même époque.