Ce que les fascismes et leurs avatars disent de nous et de notre époque
Nous avons tenté chez Reflets, de sonder les tentations fascistes d'une frange de plus en plus importante de la droite, ainsi que des courants nationalistes qui gravitent autour. Le terme néo-fascisme semble plutôt bien adapté à cette frange politique : nous sommes au XXIème siècle, et après tout, tout peut se moderniser, même les idées les plus puantes.
Nous avons tenté chez Reflets, de sonder les tentations fascistes d'une frange de plus en plus importante de la droite, ainsi que des courants nationalistes qui gravitent autour. Le terme néo-fascisme semble plutôt bien adapté à cette frange politique : nous sommes au XXIème siècle, et après tout, tout peut se moderniser, même les idées les plus puantes. Après le décès tragique d'un jeune homme militant de gauche (visiblement anti-fa) par des jeune nationalistes révolutionnaires, petit tour de la France très à droite…pour bien saisir où nous sommes arrivés, et de ce que pas mal de monde ne veut ni voir ni vraiment entendre.
Il n'y a pas d'extrêmes…il y a des systèmes politiques (et des gens qui les activent)
Au centre de a préoccupation de ce qui est appelée extrême droite, il y a la nation. Mais avec cette nation, il y a l'autorité. De l'Etat, entre autres. Et puis la souveraineté. De la nation, mais du peuple aussi, bien entendu. Le bon peuple, cette espèce d'entité indéfinie et mouvante qui constitue le prétexte idéal pour commettre à peu près tout et n'importe quoi en son nom. Pratique, n'est-ce pas ?
Alors, rentrons dans le vif du sujet qui semble troubler une part importante des lecteurs-commentateurs de Reflets et peut-être bien au delà : quel est le problème causé par le décès du jeune Clément, qui s'est fait défoncer le crâne par une brute épaisse déguisée en néo-nazillon ? Celui que des groupe...