François Hollande : un chef militaire qui n'assume pas les pertes humaines ?
À chaque crime [de masse ou connoté terroriste] sur le territoire français en lien avec l'État Islamique, la réponse du chef de l'État et de son premier ministre est toujours la même : "Nous sommes en guerre". Cet argument servirait d'explication à la perpétration des meurtres commis par des « soldats de l'État Islamique » [assimilés à des ennemis intérieurs].