Gilets jaunes en noir et blanc
Pourquoi sortir de la polarisation quand elle est si pratique ?
Christophe Castaner parle de "séditieux", les tévés en continu parlent de "casseurs" et tentent de maintenir une ligne selon laquelle il y aurait des bons gilets jaunes et des "infiltrés". Du noir et blanc. Le gris, lui, disparaît du paysage, comme toujours.