Aurora : et si c’était pas les hackers chinois ?
On s'en doutait, l'Opération Aurora (également désignée comme l'attaque Hydraq, du nom du trojan), n'était pas un cas isolé. Symantec s'est chargé de surveiller et de détecter des mécanismes similaires afin de comprendre à posteriori cette attaque.Trois ans après la déclaration publique de Google, cible de cette attaque, Hydraq continue son bonhomme de chemin et appelle encore d'autant plus de questions.