Hackers, hacktivistes : de simples agents du chaos
Samedi, Reflets est allé parler d’hacktivisme avec Frédéric Bardeau de l’agence Limite, de leur devenir et surtout de ce qu’ils devraient, selon lui, être. Cette émission de radio sur France Culture rebondissait sur une interview de Frédéric Bardeau dans les colonnes de Reflets. Yovan Menkevick, auteur de l’interview vous entretient souvent du soufisme. Profitons de l’occasion pour parler de chinoiseries…
Samedi, Reflets est allé parler d’hacktivisme avec Frédéric Bardeau de l’agence Limite, de leur devenir et surtout de ce qu’ils devraient, selon lui, être. Cette émission de radio sur France Culture rebondissait sur une interview de Frédéric Bardeau dans les colonnes de Reflets. Yovan Menkevick, auteur de l’interview vous entretient souvent du soufisme. Profitons de l’occasion pour parler de chinoiseries…
Pour Frédéric Bardeau, les hacktivistes manquent de culture politique, ont des égos surdimensionnés et rechignent à partager leur savoir, supposément hors du commun, de manière intelligible, avec « les gens ».
Les hacktivistes ne sont qu’un « groupe » dans un ensemble. Ce groupe, composé d’une foule d’individus ne sont que le reflet de la société dans laquelle ils s’insèrent. De fait, ce groupe est composé d’éléments qui peuvent être membres d’autres groupes (un jardinier qui devient hacktiviste le soir en rentrant par exemple) et qui font nécessairement partie de l’ensemble global. On trouvera donc assez logiquement, en proportion, autant de cons dans le groupe « hacktivistes », d’égos surdimensionnés, d’ignares politiques, que dans d’autres groupes (cafetiers, secteur de la communication, politiques, plombiers,…) ou que dans l’ensemble global. L'inverse étant vrai également. On trouvera dans un groupe autant de personnes avec une forte culture politique, un ego normal, etc. que dans le groupe global...
L’existence d’un groupe qui...