Le mystère TMG
Mi mai, Reflets publiait un article sur TMG, le prestataire des ayants-droits, chargé de surveiller les réseaux Peer to Peer. L'un de leurs serveurs de test contenait, outre des données personnelles (des adresses IP) d'internautes, des programmes informatiques permettant à TMG de flasher les téléchargeurs pédo-nazi qui tuent des artistes en les décapitant à coup de lecteur DVD. Ni une ni deux, la CNIL annonçait un contrôle surprise chez TMG. Elle était accompagnée de l'Hadopi.