TMG : la CNIL sort de son silence
Hier, l'Hadopi indiquait à Reflets que le lien informatique entre elle et TMG, l'entreprise chargée par les ayants-droits de flasher les internautes téléchargeurs, était toujours coupé. Une conséquence de l'article de Reflets sur la non protection d'un serveur (de test) de TMG. Nous pouvions en déduire, avec notre mauvais esprit légendaire, que les grains de sables qui s'étaient insérés dans la mécanique bien huilée de la riposte graduée étaient toujours là.
Hier, l'Hadopi indiquait à Reflets que le lien informatique entre elle et TMG, l'entreprise chargée par les ayants-droits de flasher les internautes téléchargeurs, était toujours coupé. Une conséquence de l'article de Reflets sur la non protection d'un serveur (de test) de TMG.
Nous pouvions en déduire, avec notre mauvais esprit légendaire, que les grains de sables qui s'étaient insérés dans la mécanique bien huilée de la riposte graduée étaient toujours là.
Bien entendu, l'institution ne peut affirmer publiquement qu'elle n'envoie plus de lettres aux internautes téléchargeurs et nous la croyons bien volontiers sur parole, lorsqu'elle nous dit qu'elle dispose d'un stock permettant de ne pas stopper son activité postale.
Bien sur, comme tout économiste en herbe le sait, les stocks ne sont jamais inépuisables. Et nous restons sans réponse pour le petit calcul que nous avions suggéré à l'attaché de presse de l'Hadopi.
Aujourd'hui, c'est la CNIL, à qui nous demandions (sans le moindre succès) depuis des semaines (voir notre TL Twitter) des nouvelles de son contrôle chez TMG, lui aussi déclenché par l'article de Reflets, qui a décidé de nous en donner...
Apprenez, chers internautes que vous ne saurez probablement jamais ce qui s'est passé chez TMG, sur son serveur de test, sur l'étendue des risques que nous avions perçus. Pourquoi ? Parce que c'est, justement, un pouvoir discrétionnaire de la CNIL......