Journal d'investigation en ligne

Technos

CORRECTIF à notre article sur la ligue du LOL

Oups...

Se tromper, c'est mal. Ne pas le reconnaitre, serait pire

par Jef, Antoine Champagne - kitetoa

Cher Mounir, cher secrétaire d'État...

Quand tu n'as pas les mêmes références que Mounir Mahjoubi

Discuter avec un ministre sur Twitter peut amener son lot de surprises et d'incompréhensions. Alors autant développer sur plus de 280 caractères.

par Antoine Champagne - kitetoa

Des utilisateurs fantômes et des portes-dérobées dans les messageries

On Ghost Users and Messaging Backdoors

Matthew Green est cryptologue et enseignant à l'Université John Hopkins. Il est revenu, sur son blog, sur la récente « proposition » de deux membres du GCHQ pour rendre le chiffrement « responsable ».

par Jef

La Chine et la Russie sont les grands méchants loups de la cyber-guerre

Oui, mais...

La Chine est accusée d'avoir implanté des micro-puces dans des serveurs livrés à Apple et Amazon. Le GRU russe a quant à lui voulu pirater l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques. Quand le sage montre la lune...

par Antoine Champagne - kitetoa

Florence Parly visite la DIRISI

Une visite "ouverte-fermée" pour la presse

Faire un petit tour dans un datacenter de la Direction interarmées des réseaux d'infrastructure et des systèmes d'information, pourquoi pas. Mais l'Armée n'est pas surnommée "la grande muette pour rien"...

par Antoine Champagne - kitetoa

Atos perd ses procès en diffamation contre une journaliste

Breton-La-Menace renvoyé à ses supercalculateurs

Thierry Breton n'aime pas que l'on parle en termes peu flatteurs de son entreprise et dégaine la menace de procès plus vite que son ombre. Il avait déclenché trois procédures bâillon contre Stéphanie Fontaine. Trois procès perdus.

Aucune
par Antoine Champagne - kitetoa

Comment la directive Copyright va tuer les plateformes...

On peut toujours rêver....

L'hégémonie de Google, de Facebook et de Twitter en matière d'hébergement et de "distribution" de contenus est évidente. Le vote de la directive pourrait avoir des effets de bord insoupçonnés, comme la re-décentralisation des contenus. Ou pas...

par Antoine Champagne - kitetoa

Des malwares dans les apps bancaires ?

Quand la cybermenace monte en puissance à la vitesse d'une moule lancée au galop

La communication, ça coûte cher, peuchère. Du coup, pour se faire de la pub à peu de frais, les boîtes ont trouvé la martingale : pondre un livre blanc ou une étude avec un sujet bien clickbait.

par Antoine Champagne - kitetoa, Jef

Facebook vs DOJ : Messenger dans la mouise ?

Chiffré de bout-en-bout, pas si sûr…

Dans le dernier épisode des « cryptowars », c'est au tour de Facebook de se retrouver opposé au gouvernement états-uniens, dans une affaire où il est, encore une fois, question de cryptographie.

par Jef

Amesys à Milipol : "on vit dans la peur"

Advanced Middle East Systems (Amesys) a la trouille. La trouille que des journalistes viennent les voir. Ça n'a pas manqué...

Que dit Amesys à un prospect sur le salon Milipol ? A peu près tout. Que dit Amesys à un journaliste ? Rien. Pourquoi ? Parce que chez Amesys, on est attaqués par les défenseurs d'Internet, par la presse, cette méchante. Bilan, chez Amesys, on vit dans la peur.

Dossier
par Antoine Champagne - kitetoa

Qosmos a-t-elle facturé 4 millions d'euros à la DGSE entre 2011 et 2012 ?

C'est en tout cas le montant versé par l’agence comptable des services industriels de l’armement au fabriquant de sondes DPI

Comme l'indique la Cour des comptes, l’agence comptable des services industriels de l’armement est le comptable assignataire de la direction générale de la sécurité extérieure. Or l'ACSIA a versé plus de 4 millions à Qosmos entre 2011 et 2012

par Antoine Champagne - kitetoa

Déclaration d'amour au chiffrement, DGSE-style

Le point de vue priceless du directeur technique de la DGSE sur la question

Lors de la conférence de clôture du SSTIC, un symposium sur la sécurité informatique, Patrick Pailloux proposait de tordre « le cou à une idée que l'on entend trop souvent »… Pour finir par la soutenir.

par Jef

An 1 de l’algocrature française : état des lieux

Bienvenue dans l'algocrature (plus ou moins douce) en Marche !

Le président Macron élu sur son projet de startup-nation continue de mettre en place la société du « nouveau monde » à laquelle il aspire, à grands coups d’ordonnances, de rapports, de déclarations péremptoires et de réformes. Derrière le discours pragmatique du "There is no choice" et de la "disruption par l'innovation", apparaît en réalité un choix idéologique très clair, celui de la mise en place d’une "algocrature". Explications.

par drapher

Censure : 2018, une année noire pour les libertés

Après Google, Amazon interdit le domain fronting

En quelques semaines, Google puis Amazon ont totalement et volontairement redistribué le paysage de la censure sur Internet.

par Jef

Google bas du front, c'est le Souq chez Signal

Google interdit le domain fronting

Décidément, ça bouge dans le monde de messageries sécurisées. Les développeurs de Signal sont contraints de s'adapter aux modifications récentes imposées par Google.

par Jef

De la naissance de Kitetoa.com à Tati

En passant par l'IoT de l'espace

Ce que l'on peut lire dans la presse sur le hack est la partie émergée de l'iceberg. Le reste ne remonte quasiment jamais à la surface.

par Antoine Champagne - kitetoa

Telegram : DNS over Google

Le domain fronting du pauvre

Pour se prémunir du blocage et de la censure, Telegram a mis en œuvre un système de contournement… Assez ébouriffant.

par Jef

Quand Defcon est devenue ADMCon

The untold story…

ADM, le groupe sans doute le moins médiatisé de l'époque, mais aussi le plus avancé et le plus puissant avait déjà le goût du Lulz...

par Antoine Champagne - kitetoa

Idée recette : une messagerie cryptée aux morilles

Telegram, ou quand les défauts de conception finissent par se payer

Dans le bras de fer qui l'oppose au gouvernement russe, l'architecture de Telegram place la messagerie en mauvaise posture. Analyse.

par Jef

Facebook, CA et les autres, data analyse et société automatisée : devine qui vient dîner ce soir ?

Restons raisonnables : demandons l'impossible

Comment ne pas éclater de rire devant le grand cirque qui a débuté autour de la « pas du tout récente affaire » d’influence électorale de Cambridge Analytica via des profils Facebook ? Le problème viendrait-il du modèle Facebook (et des autres opérateurs du net) ou bien simplement du modèle plébiscité par les utilisateurs?

par drapher