Q.I. anal...
Si l’on part du principe que l’écosystème “agences-clients” évoqué dans un précédent billet vit dans une réalité modifiée où tout le monde accepte que l’on fonce dans le mur en klaxonnant, il faut imaginer un monde à l’envers ou tout serait illogique. Normalement, on ne devrait trouver dans la com’ que des salarié(e)s d’un niveau intellectuel très élevé. Pour faire de l’art (de la pub ou de la com’) il faut des gens particulièrement “giftés” comme disent nos amis américains.