La censure au PS : c'est old school
Ca y est. Dans les terres sauvages des internets Français, la bataille des présidentielles a commencé. La France découvre horrifié que le parti de notre bon président n'hésite pas à censurer ses opposants sur Twitter, quitte à balancer du Flamby jusque sur les côtes américaines. Le PS n'est pas en reste, et lui aussi censure sec, mais avec des méthodes... différentes.
Ca y est. Dans les terres sauvages des internets Français, la bataille des présidentielles a commencé. La France découvre horrifié que le parti de notre bon président n'hésite pas à censurer ses opposants sur Twitter, quitte à balancer du Flamby jusque sur les côtes américaines.
Le PS n'est pas en reste, et lui aussi censure sec, mais avec des méthodes... différentes. Une requête rendue sur ordonance pour Twitter et une ordonnace du TGI de Paris pour obtenir les données personelles d'un opposant.
Au PS, point d'hypothétiques relations haut placées chez Twitter, ou de botnets faisant du mass reporting. Au PS, ont fait dans l'artisanat : l'arme juridique. Utiliser le code de la propriété intellectuelle pour obtenir des données personelles de vos opposants politiques ? Ben oui. Il n'y a pas que les majors qui savent utiliser la propriété intellectuelle de façon vicelarde. Au PS aussi, on a de bon avocats. A défaut d'avoir de l'éthique, c'est déjà ça.
Ca fait un peu désordre dans le landernau du numérique qui n'a cessé de dénoncer la façon dont les majors, ces dernières années, ont usé et abusé du code de la propriété intellectuelle pour censurer à tout va, mais bon. Tans pis.
Le soucis, ce n'est pas tant que le PS censure internet (sauf pour ceux que ça surprend, ou ceux qui se...