#BlueCoat en #Syrie : encore une fois la main dans le pot de confiture
La mort, en bourse, c'est lucratif, puis on meurt Nous pensions naïvement que le département d'état américain avait calmé les ardeurs commerciales de Bluecoat. Mais qu'est-ce que 2,8 millions de dollars d'amende pour une entreprise comme Computerlink qui a joué le rôle d'intermédiaire dans cette vente ? Nous en avons aujourd'hui la réponse... rien. On attend déjà le #Spanou®... mais si c'est vous. On attend déjà le #Onsavépa ...
La mort, en bourse, c'est lucratif, puis on meurt
Nous pensions naïvement que le département d'état américain avait calmé les ardeurs commerciales de Bluecoat. Mais qu'est-ce que 2,8 millions de dollars d'amende pour une entreprise comme Computerlink qui a joué le rôle d'intermédiaire dans cette vente ? Nous en avons aujourd'hui la réponse... rien. On attend déjà le #Spanou... mais si c'est vous. On attend déjà le #Onsavépa ... mais si, vous le savez très bien, nous l'avons déjà expliqué et démontré (US). On attend donc sagement, comme d'habitude le démenti de BlueCoat (le fameux #Spanou), puis les aveux, mais on va tout de suite répondre au #Onsavépa.
Aujourd'hui une notice IRC attire notre attention sur une page Pastebin. Une page qui a le don de nous agacer particulièrement. Elle atteste de la présence de pas moins de 34 appliances soit bien plus que le nombre que BlueCoat a reconnu savoir sur le territoire syrien soit disant sans savoir comment elles avaient pu arriver là.
BlueCoat connait exactement le nombre de ses appliances actives sur le sol syrien, ce pour la bonne et simple raison qu'à la première mise à jour, au premier refresh des listes de filtrage de ses proxys, BlueCoat voit apparaitre dans ses logs de serveurs de mises à jour des adresses IP syriennes... pas moins de 34. Vous avez bien lu... 34. Et l'utilisation faite par les FAI...