Faut pas charia !
Non, ce n'est plus de Reflets qu'il s'agit cette fois, qui je le rappelle avait reçu indirectement des menaces de mort qui visaient également les agents Telecomix, mais de Charlie Hebdo. On ne vous apprend rien, l'affaire a fait suffisamment de bruit.
Non, ce n'est plus de Reflets qu'il s'agit cette fois, qui je le rappelle avait reçu indirectement des menaces de mort qui visaient également les agents Telecomix, mais de Charlie Hebdo. On ne vous apprend rien, l'affaire a fait suffisamment de bruit. En l'espace de quelques heures, des personnes visiblement mal intentionnées ont :
- piraté le site Internet du journal ;
- mis le feu au locaux du journal ;
- proféré des menaces de mort à l'encontre de l'hébergeur du site Web du journal, si bien que celui-ci n'a pas osé remettre le site en ligne.
Nous nous sommes longuement exprimés sur les armes de censure et de surveillance des réseaux potentiellement à disposition des gouvernements, tel que cela a été observé en Libye et tel que cela est actuellement à l'oeuvre en Syrie. L'article sur Milipol à ce propos a d'ailleurs soulevé une quantité impressionante de réactions divergentes, bien que celles-ci n'étaient pas forcément centrées sur les armes numériques en particulier. Les divers argumentaires qui s'en sont suivis étaient pour certains enrichissants, et quoi qu'on en dise, ils représentent un excellent exemple de liberté de communiquer et d'échanger des idées sur Internet.
Même si certains dirigeants d'États et/ou d'entreprises sont ceux qui représentent (peut-être) potentiellement le danger le plus grand pour la liberté d'expression étant donné qu'ils contrôlent les...