Le fascisme : les mots et la réalité (historique)
(Après avoir fait réagir avec l'affiche de Pascal Colrat, agacé avec des constats politiques sur l'entre deux tours qui n'arrivent pas à être admis par une partie des lecteurs qui commentent, le temps est venu de faire œuvre pédagogique. Ah ! La pédagogie… C'est un peu prétentieux, hein ? Oui, c'est vrai, mais quand on lit ce qu'on lit et qu'on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, ça devient une œuvre de salubrité publique, la pédagogie.
(Après avoir fait réagir avec l'affiche de Pascal Colrat, agacé avec des constats politiques sur l'entre deux tours qui n'arrivent pas à être admis par une partie des lecteurs qui commentent, le temps est venu de faire œuvre pédagogique. Ah ! La pédagogie… C'est un peu prétentieux, hein ? Oui, c'est vrai, mais quand on lit ce qu'on lit et qu'on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, ça devient une œuvre de salubrité publique, la pédagogie.)
Une première chose : à Reflets on ne roule pour personne. Ecrire sur l'économie, l'histoire, la politique n'est pas ici une manière d'inciter qui que ce soit à aller dans un sens particulier, adhérer avec une quelconque idéologie. Le but est de s'emparer des sujets, de les tordre, les fouiller, sans état d'âme ni obligation éditoriale. Mais avec le plus d'honnêteté intellectuelle possible.
Alors, que vous soyez ou non en accord avec des analyses, des affirmations, est tout à fait possible, mais reprocher le manque d'analyse parce que vous pensez différemment de ce qui est écrit, tout en reprochant aux médias traditionnels d'être consensuels, de ne pas dire l'entière vérité est un peu paradoxal. C'est pourquoi, cet article modeste va essayer de compléter le "manque d'analyse" sur la tentation néo-fasciste, puisqu'une partie conséquente des commentaire démontraient, elle, un manque de culture historique, politique évidents....