Satanées faces de citrons ! Elles envahissent Bercy et Renault !
Quoi, quoi ? Qu'est-ce qu'il a ce titre ? C'est de saison non ? Et puis quoi ? Vous êtes contre ma liberté d'expression ? Vous êtes anti-démocrate ! Trêve de plaisanteries (on rit jaune tout de même face à la banalisation du racisme). Revenons à nos amis Chinois. Vous avez lu partout qu'ils étaient très probablement derrière le piratage de haut vol des ordinateurs de Bercy. Une affaire d'Etat n'hésite pas à dire Paris-Match, le journal spécialisé en sécurité informatique.
Quoi, quoi ? Qu'est-ce qu'il a ce titre ? C'est de saison non ? Et puis quoi ? Vous êtes contre ma liberté d'expression ? Vous êtes anti-démocrate !
Trêve de plaisanteries (on rit jaune tout de même face à la banalisation du racisme).
Revenons à nos amis Chinois. Vous avez lu partout qu'ils étaient très probablement derrière le piratage de haut vol des ordinateurs de Bercy. Une affaire d'Etat n'hésite pas à dire Paris-Match, le journal spécialisé en sécurité informatique. C'est dire si c'est grave. Souvenez-vous, il y a quelques semaines, les journaux relayaient gaiement les informations véhiculées par Renault sur une affaire non moins importante d'espionnage industriel mettant en cause trois cadres importants du constructeur automobile. Lesdits cadres avaient été virés sur le champ et accusés publiquement d'avoir des comptes à l'étranger pour réceptionner le fruit de leur trahison.
Il s'avère que, pour ceux qui ne suivent pas l'affaire depuis le début dans le Canard Enchaîné, l'histoire se dégonfle complètement. On nous explique maintenant que les patrons de Renault auraient pu être abusés par les services de sécurité internes.
Ces deux affaires ont une chose en commun, à part la désignation des Chinois comme auteurs des pires forfaitures. Elles font appel aux fantasmes. Ni dans l'une, ni dans l'autre, l'implication de la Chine n'est prouvée.
Dans l'affaire du piratage des ordinateurs de...