Le cynisme de Bercy face au dossier Amesys
Deux événements sont venus ponctuer notre journée. Le premier, nous vous en parlions ce matin, c'est le feu vert donné par la Cour d'appel de Paris à l'ouverture d'une enquête sur le rôle présumé d'Amesys dans le cadre d'une plainte de la FIDH et de la LDH. Le second (non)évènement c'est la reculade de Fleur Pellerin sur la question de la Neutralité du Net annoncée ce jour à l'occasion d'une super table ronde à Bercy.
Deux événements sont venus ponctuer notre journée. Le premier, nous vous en parlions ce matin, c'est le feu vert donné par la Cour d'appel de Paris à l'ouverture d'une enquête sur le rôle présumé d'Amesys dans le cadre d'une plainte de la FIDH et de la LDH. Le second (non)évènement c'est la reculade de Fleur Pellerin sur la question de la Neutralité du Net annoncée ce jour à l'occasion d'une super table ronde à Bercy. Nous n'allons pas trop détailler ce point vu qu'on se doutait bien que le changement ça a beau être maintenant, en fait ça ne change pas du tout : le pognon, toujours le pognon, les libertés fondamentales pourront bien attendre un avis du Conseil National du Numérique à qui notre ministre a décidé aujourd'hui de refiler la patate chaude. La Quadrature du Net a d'ailleurs parfaitement résumé l'utilité de cette table ronde.
La patate chaude, c'est la soft, on fait quoi de celle qui pue ?
La patate qui pue, c'est évidemment la patate Amesys, Kitetoa vous l'expliquait. Nous avons donc, naïvement profité de l'occasion de cette super table ronde pour poser nos questions à nous, les questions puent.
Probablement irrité par le hashtag #MaisOuEstFleurque votre serviteur a lancé pour taquiner notre ministre au sujet son absence, absence d'autant plus remarquée à cette table ronde sur la Neutralité du Net qu'elle est venue en...