Lagarde ? La boulette, bis repetita
Décidément, notre ministre de l'Economie est trop forte. Du coup, vu le rythme des boulettes, il nous semble qu'il va falloir tenir le compte et y revenir souvent...
Décidément, notre ministre de l'Economie est trop forte. Du coup, vu le rythme des boulettes, il nous semble qu'il va falloir tenir le compte et y revenir souvent...
Reprenons dans l'ordre les dernières:
Juste après le sauvetage de l'Irlande, Christine Lagarde explique :
Quant à une possible contagion de la crise irlandaise à d’autres pays de la zone euro comme l’Espagne ou le Portugal, la ministre des Finances a jugé que les « sources » de leurs difficultés n’étaient « pas du tout du même ordre ».
Quelques mois plus tard, comme tout le monde pouvait l'anticiper (Reflets l'avait fait), le Portugal est contraint de faire appel à l'aide internationale.
La France a donc l'air ridicule, mais avouons, à la décharge de la ministre, que sous l'ère Sarkozy, c'est un souci récurent.
Cette semaine, Chrsitine Lagarde veut se faire mousser à la télévision et annonce un "bon chiffre" : les perspectives de créations d'emplois sont, dit-elle, multipliées par 50%. En termes mathématiques, cela veut dire qu'elles sont divisées par deux.Pas grave, on est pas à une boulette près.
Le lendemain, rebelote.
Que nous dit Christine ?
Il faut remonter, cette fois, au sauvetage de la Grèce :
"Dans le cas de la Grèce, chaque pays a consenti des prêts. Cette fois, on constitue un fonds qui ira emprunter sur les marchés pour ensuite prêter aux pays qui en auront besoin. Les Etats membres ne sont là que pour donner une...