Jean-Jacques Urvoas : Qosmos et Amesys ne sont pas prestataires des services français
Il y a parfois des petits bijoux dans les vidéos de l'Assemblée Nationale. C'est le cas de cette retransmission de la "table ronde sur les libertés et les activités de renseignement" du 13 novembre 2014. Sont présents Jean-Jacques Urvoas et Jean-Michel Delarue. Le premier est président de la commission des lois et président de la Délégation parlementaire du renseignement.
Il y a parfois des petits bijoux dans les vidéos de l'Assemblée Nationale. C'est le cas de cette retransmission de la "table ronde sur les libertés et les activités de renseignement" du 13 novembre 2014. Sont présents Jean-Jacques Urvoas et Jean-Michel Delarue. Le premier est président de la commission des lois et président de la Délégation parlementaire du renseignement. A ce titre, il est bien placé pour connaître des activités de renseignement et a travaillé au sein de la commission des lois sur la Loi de programmation militaire et sur celle renforçant les dispositions relatives à la lutte contre le terrorisme. Le second est Jean-Marie Delarue, président de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité. Une phrase ressort particulièrement du discours de Jean-Jacques Urvoas. Elle n'est pas passée inaperçue chez Reflets qui a déjà relayé les déclarations de Jean-Jacques Urvoas ici et là notamment... Ce n'est pas une nouveauté pour nos lecteurs, Jean-Jacques Urvoas, est (suppositions) au choix, parfaitement au courant de l’étendue des écoutes opérées par la DGSE ou, pas du tout au courant car la DGSE n’informe pas les députés sur l’étendue de ses écoutes. Si la première supposition est la bonne, cela veut dire que Jean-Jacques Urvoas ment effrontément au cours de cette table ronde. Si la seconde supposition est juste, il devrait s'interroger sur son rôle de représentant du peuple et sur la manière...