François Hollande : « le néo-fascisme, c’est maintenant »
Le président français a décidé de changer la République. Durablement. Cette nouvelle orientation n’est pas une simple lubie présidentielle qui disparaîtra à la prochaine élection présidentielle, puisque la Constitution devrait être modifiée dans un mois. Il est difficile de comprendre quel est le sens exact de cette politique qui ne semble pas directement reliée à une doctrine établie et connue.
Le président français a décidé de changer la République. Durablement. Cette nouvelle orientation n’est pas une simple lubie présidentielle qui disparaîtra à la prochaine élection présidentielle, puisque la Constitution devrait être modifiée dans un mois. Il est difficile de comprendre quel est le sens exact de cette politique qui ne semble pas directement reliée à une doctrine établie et connue. Pourtant, si une analyse des déclarations, décisions, et propositions de François Hollande est effectuée, un tableau idéologique et politique assez précis prend forme. Il doit être nommé et expliqué, sinon, le risque d’une paralysie démocratique guette la société dans son ensemble.
Néo-fascisme : quelques pistes
La terminologie « fasciste », bien qu’historiquement connotée est la seule qui peut correspondre — au moins partiellement — au chef de l’Etat français. Elle ne peut suffire à elle seule, puisque celui-ci ne s’en revendique pas, et qu’une palette de nuances significative différencie le fascisme originel de la politique menée par François Hollande. La politique actuelle de François Hollande trouve son inspiration dans le fascisme, mais elle s’adapte, à son époque, aux circonstances et au pays qui l’accueille. C’est une politique néo-fasciste. Un fascisme nouveau. Moderne. 2.0.
Un exemple de l'époque mussolinienne, sur l'économie, alors que le fascisme de Mussolini se revendique au départ d'une "mystique de gauche anti-marxiste" :
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