Economie française : la bourse ou…la dette !
(Il y a des réalités économiques qu'on nous rentre dans le crâne depuis des années et qui soi-disant ne pourraient être remises en cause. C'est le cas des très grandes entreprises française cotées en bourse qu'il faudrait ménager, protéger, parce qu'elles sont le fleuron de notre économie. Ce serait grâce à elles qu'une grande partie de la richesse nationale serait créée. Elles seraient un moteur économique, un facteur de dynamisme.
(Il y a des réalités économiques qu'on nous rentre dans le crâne depuis des années et qui soi-disant ne pourraient être remises en cause. C'est le cas des très grandes entreprises française cotées en bourse qu'il faudrait ménager, protéger, parce qu'elles sont le fleuron de notre économie. Ce serait grâce à elles qu'une grande partie de la richesse nationale serait créée. Elles seraient un moteur économique, un facteur de dynamisme. Et bien, cette vérité assénée comme un horizon indépassable et visant à empêcher que ces grandes entreprises soient mieux régulées, ou taxées plus conséquemment est en réalité une grosse escroquerie. Suivez le guide…)
On a plus ou moins une idée, mais il est tout de même difficile de connaître l'impact économique réel des entreprises géantes qui ont généré (pour seulement celles du CAC40) un chiffre d'affaires de plus de 1300 milliards d'euros en 2011 alors que les dépenses de l'Etat seront de 366 milliards en 2012, la dette actuelle de 1700 milliards.
Une étude passionnante de l'IFGE (Institut français de gouvernement des entreprises) nous donne des clés concrètes qui démolissent totalement le discours asséné par le gouvernement actuel au sujet des très grandes entreprises cotées en bourse que cette majorité a particulièrement favorisées depuis 10 ans (l'opposition ayant été aux manettes n'ayant pas fait autrement auparavant, mais sur un temps plus long). Tellement favorisées, ces très...