Supersarko, sauveur du monde : il y a (toujours) du laisser aller… - Bahrain : Shouting in the dark
La crise économique mondiale dont les contours commencent à prendre forme dans les esprits désespérément fermés de nos « politiques » (il était temps) a une conséquence fâcheuse. Elle éclipse les événements en cours en Tunisie, en Egypte, en Libye, en Syrie, à Bahreïn, etc. Pour autant, nous ne sommes jamais à l’abri d’une faramineuse incongruité. Et au milieu du tumulte du jour Reflets vous propose de réfléchir à ce qui vient de se passer au Sud.
La crise économique mondiale dont les contours commencent à prendre forme dans les esprits désespérément fermés de nos « politiques » (il était temps) a une conséquence fâcheuse. Elle éclipse les événements en cours en Tunisie, en Egypte, en Libye, en Syrie, à Bahreïn, etc. Pour autant, nous ne sommes jamais à l’abri d’une faramineuse incongruité. Et au milieu du tumulte du jour Reflets vous propose de réfléchir à ce qui vient de se passer au Sud. Celui qui peut toujours attendre l’aide internationale, vu ce à quoi sont confrontés nos « politiques », bien connus pour leur altruisme (voir p. 2 du Canard Enchaîné daté du 3 août, le passage sur Alain Juppé et la famine dans la Corne de l'Afrique). Si vous n'aimez pas lire, rendrez-vous directement en bas de la page, mais ce serait dommage.
La Syrie est, nous dit-on, de plus en plus isolée sur le plan international. On se demande sur quelle échelle l’OTAN mesure la nécessité, ou pas, d’intervenir militairement, parce que depuis des semaines… Mais l’incongruité majeure n’est pas là. Figurez-vous qu’après l'Arabie saoudite dimanche, le Koweït et Bahreïn ont décidé de rappeler leurs ambassadeurs en Syrie.
« Le roi Abdallah a, dans un communiqué, enjoint le président Bachar al-Assad d'"arrêter sa machine de mort" et averti que "le royaume ne peut aucunement accepter ce qui se passe en Syrie" », nous indique le Nouvel Observateur. « "Bahreïn...