Question : Le #Maroc a-t-il acheté un #Eagle d'#Amesys ?
Si l'on en croit 24hinfo, un journal marocain, le ministère de l'Intérieur de ce pays aurait porté plainte contre des personnes l'ayant accusé d'avoir acheté des outils de surveillance. Un rapport de Privacy International (organisateur par ailleurs des Big Brother Awards) accuse le Maroc d'avoir acquis des outils de piratage (Hacking Team et Amesys/Bull). Si l'information de 24hinfo est juste, le ministère de l'Intérieur va avoir du mal à expliquer ce qui va suivre.
Si l'on en croit 24hinfo, un journal marocain,le ministère de l'Intérieur de ce pays aurait porté plainte contre des personnes l'ayant accusé d'avoir acheté des outils de surveillance. Un rapport de Privacy International (organisateur par ailleurs des Big Brother Awards) accuse le Maroc d'avoir acquis des outils de piratage (Hacking Team et Amesys/Bull). Si l'information de 24hinfo est juste, le ministère de l'Intérieur va avoir du mal à expliquer ce qui va suivre.
Notez qu'à ce jour, Philippe Vannier, ancien patron d'Amesys, puis de Bull et d'Amesys, et enfin, aujourd'hui, responsable chez Atos, n'a jamais été inquiété pour la vente d'un Eagle à la Libye, au Qatar, à l'Arabie Saoudite, au Gabon, aux Emirats arabes unis, on en passe. Pas plus que Stéphane Salies, désormais patron de Advanced Systems, l'entité qui a servi à mettre à l'abri à l'étranger l'activité Eagle de Bull/Amesys. Pas plus que les développeurs qui ont mis au point Eagle : Nicolas Deckmyn, Amadou Barry, Talai Diab, Lionel Flandin, Hugo Giguelay, Philippe Job, Fabien Lahoudère, Pierre Langlais, Vincent Le Ligeour, Emmanuel Peroumalnaik, Thomas Franciszkowski, Vincent Grimaldi et Renaud Roques, bien évidemment, dont le nom et le numéro de téléphone étaient affichés dans le centre d'écoute installé à Tripoli et découvert par Margaret Coker du Wall Street Journal. Pas plus que les gouvernements français. Non, pour eux,...