Quand on n'aime pas Libervia et le darknet
On le sait, les charges contre le logiciel libre sont régulières. Les charges contre le chiffrement le sont tout autant et le sont encore plus depuis que quelques organes de presse s'emparent du sujet sous un prisme un peu déformé, soit par ignorance soit par calcul, qu'il soit politique ou commercial. Chez Reflets, nous avons une tripotée d' "amis" de longue date, particulièrement dans le monde de la surveillance électronique et de l'armement (c'est souvent en fait les mêmes).
On le sait, les charges contre le logiciel libre sont régulières. Les charges contre le chiffrement le sont tout autant et le sont encore plus depuis que quelques organes de presse s'emparent du sujet sous un prisme un peu déformé, soit par ignorance soit par calcul, qu'il soit politique ou commercial.
Chez Reflets, nous avons une tripotée d' "amis" de longue date, particulièrement dans le monde de la surveillance électronique et de l'armement (c'est souvent en fait les mêmes). Et quand sur un article assez anodin sur un logiciel libre, Libervia, on voit apparaître un curieux commentaire comme celui-ci :
"Bien joué ! En plus d’être beau et communautaire, grâce à ce beau projet, la criminalité (terrorisme, enclave mafieuse, trafic en tout genre) va bénéficier d’un nouveau service sécurisé. Bien joué les gars. Avec le darknet c’est un beau programme.Trop fort !"
... Juste par curiosité, comme ça, on procède à un petite vérification. Pourquoi ? Parce que c'est souvent drôle et ça vient souvent de chez la même bande de grands comiques.
Et une fois de plus, bingo !
Si chez ces entreprises on pouvait s'occuper de refourguer ses boites noires et ses missiles à des régimes peu recommandables ou à alimenter son fond de commerce en sollicitant les politiques pour qu'ils s'arment contre l'ensemble de la population... au lieu de venir troller les contributeurs du libre qui offrent de...