Papa Kourand
Pour le troisième opus de cette petite saga sur le monde de la musique, Reflets vous propose une bien belle découverte. J'étais hier en vadrouille dans mon quartier. Vers le Canal Saint-Martin. J'ai redécouvert l'Alimentation Générale, dont le bâtiment avait été ravagé par les flammes il y a quelques années.
Pour le troisième opus de cette petite saga sur le monde de la musique, Reflets vous propose une bien belle découverte. J'étais hier en vadrouille dans mon quartier. Vers le Canal Saint-Martin. J'ai redécouvert l'Alimentation Générale, dont le bâtiment avait été ravagé par les flammes il y a quelques années. Le lieu est assez singulier, mais j'ai surtout eu l'immense plaisir de découvrir que tout prêt d'un quartier ou j'ai passé mon enfance, il y avait des gens comme Aurélien, avec des projets un peu hors normes. Hors normes c'est bien le mot. Ce quartier a toujours accueilli une population importante d'artistes. Bien avant les bobos, il y avait des squats, et bien avant les squats, il y avait des bordels. Quoi de plus normal donc que de voir émerger des sons tout droits issus du Ghetto ? J'ai donc joyeusement pris ma petite claque musicale de l'année, ce genre de claque que sont sensées vous procurer les marchands de culture, les majors... mais elles sont trop occupées à surveiller leur patrimoine, et surtout les internautes, sur les réseaux peer to peer, pour faire leur boulot.
Allez stop le blah blah, je vous présente Papa Kourand, il est black, congolais, pauvre... mais putain il groove le Compay Secundo congolais !
Vous voulez en savoir un peu plus sur cet artiste ? Voici un petit reportage qui vous explique son quotidien :
C'est bon ? vous situez...