Nicolas Sarkozy a passé 7 heures avec Merkel pour du beurre
Sans rire... Vraiment ? Ils y croyaient nos fabuleux politiques sauveurs du monde, de droite comme de gauche ? On allait vraiment sauver la Grèce, l'euro et l'Europe par la même occasion avec un énième plan ? Que reste-t-il du plan en question deux semaines après ? Rien. Ou presque. Souvenez-vous de la déclaration de Nicolas Sarkozy à ses ministres et conseillers, (le Canard Enchaîné de la semaine dernière) : « Si je n’avais pas été là, il n’y aurait pas eu d’accord (…).
Sans rire... Vraiment ? Ils y croyaient nos fabuleux politiques sauveurs du monde, de droite comme de gauche ? On allait vraiment sauver la Grèce, l'euro et l'Europe par la même occasion avec un énième plan ?
Que reste-t-il du plan en question deux semaines après ? Rien. Ou presque. Souvenez-vous de la déclaration de Nicolas Sarkozy à ses ministres et conseillers, (le Canard Enchaîné de la semaine dernière) :
« Si je n’avais pas été là, il n’y aurait pas eu d’accord (…). J’ai fait exactement comme Henry Fonda dans un film que j’adore, « Douze hommes en colère », qui retourne un à un les jurés pour sauver la tête d’un jeune homme promis à une condamnation à mort. J’ai retourné les uns après les autres les chefs d’Etat et de gouvernement, ceux qui voulaient faire peur à la Grèce (…). J’espère qu’on aura l’honnêteté de le reconnaître ». « Ils pourront dire ce qu’ils veulent les socialistes. Ce n’est pas un président normal, comme se revendique Hollande, qui aurait réussi à trouver une solution à la crise (…). Cela n’a pas été facile de convaincre tout le monde, il a fallu passer sept heures avec Merkel… »
Sept heures avec Merkel pour du beurre ?
Voyons voir... Traçons un scénario catastrophe juste pour rigoler...
Quelques constats tout d'abord.
- Les marchés n'ont toujours pas été désarmés. Ils continuent donc de ses servir de leurs armes. Logique.
- Les taux pour la dette grecque s'envolent.
- Les taux pour la dette...