Les cassandres du GIEC et le matheux têtu…
C'est à la suite de la publication de la vidéo d'Arte sur la conférence de Doha (et du pseudo débat qui eut lieu lors de cette émission) que nécessité s'est faite d'interroger le mathématicien "sceptique", Benoît Rittaud alors présent sur le plateau.
C'est à la suite de la publication de la vidéo d'Arte sur la conférence de Doha (et du pseudo débat qui eut lieu lors de cette émission) que nécessité s'est faite d'interroger le mathématicien "sceptique", Benoît Rittaud alors présent sur le plateau. Il faut savoir qu'il n'y a pas que les climatologues d'impliqués dans la recherche sur le climat : de nombreux corps scientifiques en font partie, et les mathématiciens, comme Benoît Rittaud au premier chef, avec par exemple le calcul de la température moyenne du globe. Posons bien les bases de cet entretien vis à vis du réchauffement climatique anthropique, devenu "changement" puis "dérèglement" climatique en quelques années : il est ici question de permettre à un scientifique qui a écrit un ouvrage très précis, argumenté et référencé sur le sujet, ouvrage qui conteste les discours du GIEC (relayés de façon massive par les médias dominants et les politiques), de s'exprimer librement. Rien d'autre.
Le réchauffement qui a eu lieu lors des années 80 et 90 n'est pas mis en cause par Benoît Rittaud qui se base sur de nombreuses recherches de "sceptiques" sur le climat. Ce qui est mis en cause par le mathématicien est avant toute la démarche scientifique des rapports ainsi que des modèles utilisés par le GIEC. Mais aussi le refus d'admettre des erreurs, des incohérences qui s'accumulent sur la tête des partisans d'un...