La Syrie, Reflets, et tes impôts…
Il ne faudrait quand même pas, qu'avec la Syrie, nous ne devenions tous un peu fous. Le "nous" correspond à nous autres, riches occidentaux de pays en léger déclin socio-économique. Nous qui suivons des guerres en 16/9 ou en X pouces. Le travail de Reflets n'est pas, pour rappel, de relayer quoi que ce soit, ni de savoir qui a tort ou raison, qui sont les gentils et qui sont les méchants.
Il ne faudrait quand même pas, qu'avec la Syrie, nous ne devenions tous un peu fous. Le "nous" correspond à nous autres, riches occidentaux de pays en léger déclin socio-économique. Nous qui suivons des guerres en 16/9 ou en X pouces.
Le travail de Reflets n'est pas, pour rappel, de relayer quoi que ce soit, ni de savoir qui a tort ou raison, qui sont les gentils et qui sont les méchants. Par contre, tenter de mieux comprendre ce qu'il se passe, autant que faire se peut, désintoxiquer certaines informations bien répandues dans les média, là, oui…
Quand Bluetouff déglingue le mythe de l'Armée électronique syrienne c'est un travail de journaliste de" terrain". "Electronique", le "terrain". Un travail salvateur. D'information. Ce que ne font pas les média qui agitent le chiffon rouge des actions de l'AES, sans donner aucune information concrète. Un conflit aussi sanglant, long et complexe que le conflit syrien ne peut pas être simplement décrit en recopiant des dépêches AFP. Ni être orienté sur la croyance du bien et du mal, de l'engagement politique ou de croyances quelles qu'elles soient. D'où plusieurs approche chez Reflets.
L'une tente d'analyser une part de géostratégie et de compréhension des enjeux internes : confessionnels, politiques, stratégiques, historiques. L'autre de vérifier, décrypter, surveiller les actions des acteurs du conflit qui s'agitent en ligne. Les...