Coucou la Libye, tu reprendras bien une louche d'Amesys ?
Souvenez-vous amis lecteurs... Reflets vous a parlé, re-parlé, et re-re-parlé d'Amesys/Bull, la joyeuse bande d’exportateurs des Droits de l'Homme à la française avec la participation spéciale de Nicolas Sarkozy et de ses amis proches. Un petit business qui marche bien. Si bien, d'ailleurs, que les salaires des responsables des #Dix qui développent le bousin feraient pâlir ceux de patrons de boites nettement plus grosses.
Souvenez-vous amis lecteurs... Reflets vous a parlé, re-parlé, et re-re-parlé d'Amesys/Bull, la joyeuse bande d’exportateurs des Droits de l'Homme à la française avec la participation spéciale de Nicolas Sarkozy et de ses amis proches. Un petit business qui marche bien. Si bien, d'ailleurs, que les salaires des responsables des #Dix qui développent le bousin feraient pâlir ceux de patrons de boites nettement plus grosses. Et croyez-nous, tout va bien pour Amesys/Bull, qui continue encore aujourd'hui son petit business avec le complexe militaro-industriel français et européen. Mais aussi, bien entendu, avec les pays riants comme le Maroc, le Quatar, etc. La liste est très, très, très longue.
Si vous avez suivi Reflets sur ces sujets, vous savez que Amesys/Bull a vendu à Kadhafi un système d'écoute globale de la population, permettant d'arrêter et de torturer les opposants. Vous savez aussi que l'interface libyenne d'Amesys/Bull était Abdallah Senoussi, un terroriste condamné en France par contumace. Un détail qui n'ennuyait ni Philippe Vannier, actuel patron de Bull et architecte de ce deal, ni Ziad Takieddine, ni la clique de ministres et conseillers de Nicolas Sarkozy (lui compris) qui ont trempé dans l'AmesysGate.
Vous savez aussi que depuis des mois, Reflets a publiquement annoncé qu'il tenait ses archives à disposition de la Justice. Nos articles montrent qu'il est possible de poursuivre cette société en adoptant bon...