Climat, énergie et écologie sont dans un bateau : l'écologie tombe à l'eau…
Nous en avons parlé plus que de mesure [avec tous les retours énervés possibles fabriqués par la propagande sur le sujet], mais aujourd'hui il va être difficile de passer outre les derniers arbitrages et annonces de Nicolas Hulot sur la sortie du nucléaire. Une sortie qui ne se fera pas, en réalité. Pour justifier ce rétropédalage, en pleine COP23 à Bonn, Nicolas Hulot a mis en avant l’argument climatique.
Pour justifier ce rétropédalage, en pleine COP23 à Bonn, Nicolas Hulot a mis en avant l’argument climatique. « Si l’on veut maintenir la date de 2025 pour ramener dans le mix énergétique le nucléaire à 50 %, ça se fera au détriment de nos engagements climatiques, a affirmé le ministre. Et ça se fera au détriment de la fermeture des centrales à charbon. » (Reporterre, le 8 novembre 2017)
Oui, depuis le dernier rapport du GIEC, il est clairement établi, selon l'organisation onusienne, qu'aucune issue n'est possible "dans le sauvetage planétaire" sans le nucléaire. Ce que personne ne voulait admettre, mais que Nicolas Hulot sait très bien. Comme tous les dirigeants des grandes organisations de lutte contre l'apocalypse climatique anthropique.
Nico l'écolo sait depuis longtemps
Établissons bien les choses une bonne fois pour toute : le plan mondial de l'ONU sur la transition énergétique (basé sur les modèles informatiques commandés par le GIEC et poussés par Al Gore) mitonné depuis des années a comme base un seul objectif : imposer une nouvelle donne énergétique et donc économique, à tous. Le principe est simple : toute...