Voter à la présidentielle, ou voter pour des faiseurs d'oligarchie incapables
Dans à peu près deux mois nous allons tous faire une grosse connerie : élire un homme politique médiocre ou incapable qui réglera ses problèmes et ceux de ses amis, mais certainement pas les nôtres. Le choix qui se profile est à chaque élection plus terrible. Le niveau baisse, comme on dit... Ou pas. Quoi qu'il en soit, il va falloir choisir entre l'extrême droite classique (le FN), la nouvelle extrême droite (l'UMP), la droite (le PS et le Modem), la gauche (EELV, Mélenchon, etc.).
Dans à peu près deux mois nous allons tous faire une grosse connerie : élire un homme politique médiocre ou incapable qui réglera ses problèmes et ceux de ses amis, mais certainement pas les nôtres.
Le choix qui se profile est à chaque élection plus terrible. Le niveau baisse, comme on dit... Ou pas. Quoi qu'il en soit, il va falloir choisir entre l'extrême droite classique (le FN), la nouvelle extrême droite (l'UMP), la droite (le PS et le Modem), la gauche (EELV, Mélenchon, etc.). Aucun n'a de solution pour sortir d'une problématique complexe à laquelle nous sommes confrontés.
Les polémiques des campagnes se limitent à savoir si oui ou non les Arabes Auvergnats sont des gens comme nous, si les homosexuels ont été déportés par les Allemands pendant la guerre, ou pas, si Facebook aide Sauron à affiner son compte, bref, du lourd.
Quand bien même la campagne porterait sur des sujets de fond, rien ne serait résolu par la suite. Tout va bien.
Le monde est plongé dans une crise économique et financière qui n'est autre que l'un des derniers soubresauts du système capitaliste.
Le problème n'est pas de dire si le capitalisme est un meilleur système que le socialisme ou le communisme.
Tout système, une fois mis en place, fonctionne, puis mute. Arrivé à un point donné, il est suffisamment dévoyé et modifié par ses évolutions naturelles (ou non) pour qu'il ne soit plus viable. Le communisme a trépassé, il n'y a aucune raison pour que le...