Un quinquennat marqué par une franche réussite économique
Allez, qu'on se le dise, tout ça, c'est la faute aux crises. Pas à la crise, aux crises. Elles ont été terribles. Et dans la tourmente indicible, Nicolas Sarkozy a sauvé ce pays qui s'en sort mieux que ses voisins. Comprendre la Grèce, l'Espagne, le Portugal ou l'Italie. C'est du moins ce que répète en boucle Nicolas Sarkozy à la veille de l'élection présidentielle. Oublié le temps où, tout fier, le président annonçait urbi et orbi qu'il avait sauvé l'Europe. Et pas qu'une fois.
Allez, qu'on se le dise, tout ça, c'est la faute aux crises. Pas à la crise, aux crises. Elles ont été terribles. Et dans la tourmente indicible, Nicolas Sarkozy a sauvé ce pays qui s'en sort mieux que ses voisins. Comprendre la Grèce, l'Espagne, le Portugal ou l'Italie. C'est du moins ce que répète en boucle Nicolas Sarkozy à la veille de l'élection présidentielle. Oublié le temps où, tout fier, le président annonçait urbi et orbi qu'il avait sauvé l'Europe. Et pas qu'une fois.
Ce qui serait assez fort puisque sur la macro-économie, il avait eu cette déclaration ébouriffante :
« inutile de réinventer le fil à couper le beurre. Toutes ces théories économiques… moi-même, parfois je suis un peu perdu. Ce que je veux c’est que les choses marchent ».
A bien y regarder, le président du pouvoir d'achat s'est complètement planté sur ce sujet. Paradoxalement, la droite a toujours merdouillé sur le plan macro-économique alors que la gauche a plutôt réussi (alors qu'on l'attendait plutôt sur le social).
Ça avait commencé fort. Le président et son collaborateur, François Fillon nous avait annoncé un "choc de confiance".
C'était fin mai 2007 et Reuters rapportait les propos de François Fillon :
PARIS (Reuters) – Le Premier ministre, François Fillon, assure que le gouvernement se donnera les moyens de parvenir au plein emploi dans les cinq ans et de créer « un choc de confiance » et « un choc de...