Radicalisation islamiste : comment confondre Allah avec un Sheitan de type IV
Se radicaliser, quand on à 16 ou 17 balais est une chose très facile. De la même manière, pour les ados attardés, presque trentenaires, c'est aussi possible : certaines substances psychotropes aidant, la chose peut se faire en quelques mois, parfois quelques années. Mais, tout le fond de l'affaire, qui n'est pas du tout traité par les médias (ni les spécialistes de la radicalisation) réside dans la croyance, et surtout l'issue un peu "bancale" — pour rester soft — qui attend les radicalisés.
Se radicaliser, quand on à 16 ou 17 balais est une chose très facile. De la même manière, pour les ados attardés, presque trentenaires, c'est aussi possible : certaines substances psychotropes aidant, la chose peut se faire en quelques mois, parfois quelques années. Mais, tout le fond de l'affaire, qui n'est pas du tout traité par les médias (ni les spécialistes de la radicalisation) réside dans la croyance, et surtout l'issue un peu "bancale" — pour rester soft — qui attend les radicalisés.
Parce qu'après tout, la presse est aussi là pour faire de la pédagogie, Reflets, dans sa mission universelle de gonzo-journalisme (à l'attention de la jeunesse) s'empare du sujet et publie aujourd'hui ce petit manuel à l'attention du radicalisé islamiste. Enfin, islamiste, c'est vite dit, comment nous allons le voir ensemble…
Au départ, l'islam, c'est une affaire de tablettes
Ce que tu ne sais peut-être pas, ami radicalisé (oui, tu es aussi mon ami, parce que se planter tellement gravement dans ta croyance, au point de finir là où tu risques de finir ne peut qu'attirer la compassion, plutôt qu'autre chose), c'est que la religion que tu penses représenter, à laquelle tu as adhéré, le "vrai islam" comme tu le dis souvent, est assise sur des tablettes. Pas des Ipad, non, comme tu pourrais le croire, mais des vieilles tablettes en pierre, appelées à l'époque les "dix commandements".
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