Syrie : Qosmos placée sous le statut de témoin assisté pour complicité de crimes de torture
C'est un peu comme la politique. Tout le monde est persuadé d'avoir raison. Chacun son point vue, opposé, souvent. Dans le cas qui nous intéresse, Qosmos, la société française qui parade actuellement à la conférence RSA, tout récemment placée sous le statut de témoin assisté du chef de complicité de crimes de torture commis en Syrie, ne voit dans cette décision des juges qu'une confirmation de ce qu'elle n'a rien à se reprocher.
C'est un peu comme la politique. Tout le monde est persuadé d'avoir raison. Chacun son point vue, opposé, souvent. Dans le cas qui nous intéresse, Qosmos, la société française qui parade actuellement à la conférence RSA, tout récemment placée sous le statut de témoin assisté du chef de complicité de crimes de torture commis en Syrie, ne voit dans cette décision des juges qu'une confirmation de ce qu'elle n'a rien à se reprocher. De l'autre côté du ring, les association de lutte pour les Droits de l'Homme qui y voient une confirmation que la mise en examen se rapproche à grands pas.
Allez, le match :
L'événement vu depuis chez Qosmos :
« La société Qosmos a été auditionnée ce jour en tant que témoin assisté par les magistrats instructeurs dans le cadre de l'information judiciaire ouverte le 4 avril 2014 et qui suit son cours », indique l'entreprise dans un communiqué adressé à l'AFP. « A l'issue de cette audition, le statut de témoin assisté lui a été confirmé. Les magistrats instructeurs considèrent donc qu'en l'état, aucune charge ne pèse contre la société », ajoute la PME.
Qosmos (...) a toujours affirmé qu'aucun de ses équipements ou logiciels n'avait jamais été opérationnel en Syrie. L'entreprise concède avoir envisagé de travailler avec une société allemande sous-traitante d'une société italienne qui travaillait avec la Syrie. Mais elle affirme avoir dénoncé unilatéralement ce projet...