Pourquoi le GIEC veut-il que ce soit l'homme qui réchauffe le climat ?
Après de nombreux articles sur le sujet du changement-réchauffement climatique, critiquant, raillant le dogme du GIEC et de ses défenseurs ici-même par votre serviteur, voici venu le temps de passer à l'aspect politique de la chose.
Après de nombreux articles sur le sujet du changement-réchauffement climatique, critiquant, raillant le dogme du GIEC et de ses défenseurs ici-même par votre serviteur, voici venu le temps de passer à l'aspect politique de la chose. Avec cette histoire de climat chamboulé par l'homme, de nombreuses réactions différentes les unes des autres voient le jour en 2014 : les convaincus, les critiques, ceux qui s'en foutent, les énervés engagés pour sauver la planète, les scientifiques radicaux qui ne supportent aucune critique, les fatalistes, il y a de tout aujourd'hui autour du réchauffement anthropique.
La majorité de la population française est quand même convaincue que c'est l'homme qui modifie le climat par ses rejets de gaz à effet de serre, et qu'on va le payer cher avec la montée des eaux, les cyclones, la sécheresse, la destruction des récoltes. On répète en France, par exemple, qu'il "faut faire quelque chose" : s'engager dans la réduction des émissions de Co2, et d'autres gaz qui réchauffent. Ce qui donne : faire de "l'écologie". Isoler les maison. Développer les énergies propres et renouvelables. Sachant que 70 à 80% des habitations équipées de chauffage électrique tirent leur énergie sur des centrales électriques nucléaires qui n'émettent pas de gaz à effet de serre, on se demande parfois où est le rapport entre tous ces facteurs et causes. En réalité, le...