Nicolas S : la stratégie du rejet (analyse de la présidentielle)
(C'est un filou, il est très fort, il pourrait tous nous enchaîner, comme Sauron avec l'anneau unique, mouhahahahahaha !) Allez, c'est parti, bel et bien obligé de parler de lui. Le non-candidat, le président, celui qui sillonne la France, le monde, l'univers connu et inconnu dans son gros n'avion à 180 patates parce qu'il était jaloux de celui de Barak. Comment va-t-il faire pour la gagner cette présidentielle, hein ?
(C'est un filou, il est très fort, il pourrait tous nous enchaîner, comme Sauron avec l'anneau unique, mouhahahahahaha !)
Allez, c'est parti, bel et bien obligé de parler de lui. Le non-candidat, le président, celui qui sillonne la France, le monde, l'univers connu et inconnu dans son gros n'avion à 180 patates parce qu'il était jaloux de celui de Barak. Comment va-t-il faire pour la gagner cette présidentielle, hein ? Il est plus trop aimé le pauvre, il a un bilan désastreux, tant pour la droite-qui-se-tient-correctement que pour la gôche, et en plus il a des grosses casseroles aux fesses…
Pourtant, on peut penser qu'il a ses chances. What ? But how is it possible ?
La stratégie de l'Elysée pourrait bien être celle qui va vous être dévoilée dans les lignes qui suivent. Une stratégie purement électoraliste, basée sur un peu de statistiques et une grosse pointe de cynisme. Mais ça, on s'en doutait.
Voilà l'affaire : Marine est à 20, 21%. Elle est moins "corrigée" que ne l'était son père à qui on accordait entre 6 et 7% de plus que ce que les sondés répondaient réellement. Normal, tout le monde n'aimait pas avouer vouloir voter pour le borgne. Avec sa fille altermondialiste, limite coco, ce n'est plus nécessaire : on la redresse de 2 ou 3 points, mais pas plus. Sauf qu'on ne sait pas réellement à combien elle est d'intentions de vote. Peut être bien plus que ces 20% actuels. Genre 24 ou 25%. Parce que...