L'écumeur des cybermers et le parquet flottant
Dans le cadre d'une enquête sur de fausses alertes à la bombe reçues par des lycées parisiens, les amis du petit déjeuner ont rendu lundi 8 février, une amicale visite à un lycéen. Ils l'ont placé en garde à vue et ont, semble t-il, saisi ses armes de destruction massive son matériel informatique. France Info nous apprenait le lendemain que « c'était l'adresse IP de son ordinateur » (sic) qui avait permis aux cyberlimiers de l'OCLCTIC de remonter la piste du « jeune hacker (sic et resic) ».

Le parquet, pied au plancher, avait requis la détention provisoire et la mise en examen du tipiakeur pour « complicité de menaces de destruction dangereuses pour les personnes », « complicité de menaces de mort », « complicité de fausse alerte ». Quel forfait avait donc...