La guerre, ça fait des vrais morts
Bombarder ou ne pas bombarder la Syrie, la question est sur toutes les lèvres des politiques et au bout de tous les stylos des journalistes. Tous les arguments sont sur la table et pourtant, il n'y a aucune réponse satisfaisante. Mais comment trouver une réponse satisfaisante dans un contexte de guerre ? Ceux qui en sont revenus le disent depuis la nuit des temps. La guerre est quelque chose de terrible, sale et profondément (in)humain.
Bombarder ou ne pas bombarder la Syrie, la question est sur toutes les lèvres des politiques et au bout de tous les stylos des journalistes. Tous les arguments sont sur la table et pourtant, il n'y a aucune réponse satisfaisante. Mais comment trouver une réponse satisfaisante dans un contexte de guerre ? Ceux qui en sont revenus le disent depuis la nuit des temps. La guerre est quelque chose de terrible, sale et profondément (in)humain. Désolé, il n'y a pas et n'y aura pas de bonne réponse à cette question.
Dans un conflit, les belligérants utilisent des armes dévastatrices selon leurs besoins. Plus on est dans une situation difficile, moins les considérations morales ont du poids dans les décisions qui sont prises. Il n'y a pas de gentil et de méchant dans un conflit armé. Tout le monde est méchant. Sauf les civils. L'Histoire est là pour le prouver à ceux qui en douteraient encore.
Les forces de Bachar el Assad ont plus que probablement utilisé des armes chimiques. Les rebelles aussi, peut-être. Dans une bien moindre mesure évidemment, ne disposant pas des missiles, hélicoptères et autres avions que l'armée de Bachar el Assad possède en nombre, tout comme les stocks desdits gaz. La possibilité que les rebelles aient pu utiliser des gaz a été évoquée par une experte de l'ONU, ancienne procureure du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) et du Tribunal pénal international pour le Rwanda...