Fillon, Macron, Hamon, Mélenchon : le club des "on" (qui prend la tête)
Les quatre candidats à la présidentielle les plus éligibles — hormis la candidate de l'extrême droite — sont des "on". Pour les "on" de droite, Fillon sera donc nommé "Fill" dans cet article, tout comme Macron, deviendra Macr, et à gauche, Hamon, Ham, et Mélenchon, Mélench. Tout n'est qu'affaire de convention, en fin de compte. Et puis du point de vue sonorité, répéter autant de fois le son "on" dans un même article n'est pas à proprement parler très agréable.
Les quatre candidats à la présidentielle les plus éligibles — hormis la candidate de l'extrême droite — sont des "on". Pour les "on" de droite, Fillon sera donc nommé "Fill" dans cet article, tout comme Macron, deviendra Macr, et à gauche, Hamon, Ham, et Mélenchon, Mélench. Tout n'est qu'affaire de convention, en fin de compte. Et puis du point de vue sonorité, répéter autant de fois le son "on" dans un même article n'est pas à proprement parler très agréable. Le club des "on" prend un peu la tête, de par leurs patronymes respectifs (ils l'on fait exprès ou quoi ?) et au delà, de par leur personnalité, leurs "propositions" respectives, et leur goût pour le pouvoir (ou le contraire pour l'un d'entre eux). Petit tour du club des "on", trois mois avant le début du grand n'importe quoi amnésique de la présidentielle française.
L'amnésie politique française
Le génie politique français passe par une faculté extraordinaire des électeurs — que les candidats savent exploiter à merveille : l'amnésie. Avant de décrire la réalité [un tantinet historique] et politique des quatre membres du club des "on", que bon nombre d'éditorialistes et de citoyens semblent oublier, précisons une chose importante : Marine Le Pen est la candidate d'un vieux parti raciste d'extrême droite, elle a toujours adhéré aux valeurs de ses alliés européens d'extrême droite,...