Facebook, premier service public mondial ?
Le 25 janvier 2011, la page Facebook de Mark Zuckerberg, fondateur du réseau social, est hackée . Un pirate, faisant référence à la "Facebook Hacking Cup 2011" laissera un post dérangeant qui ne restera que quelques minutes, mais qui recevra plus de 500 commentaires et plus de 1800 "Like it". Mark Zuckerberg démentira être l'auteur du message, l'entreprise ne fera aucun commentaires et fermera, définitivement, la fan page de son créateur. Il faut dire que cet événement tombe mal.
Le 25 janvier 2011, la page Facebook de Mark Zuckerberg, fondateur du réseau social, est hackée. Un pirate, faisant référence à la "Facebook Hacking Cup 2011" laissera un post dérangeant qui ne restera que quelques minutes, mais qui recevra plus de 500 commentaires et plus de 1800 "Like it". Mark Zuckerberg démentira être l'auteur du message, l'entreprise ne fera aucun commentaires et fermera, définitivement, la fan page de son créateur. Il faut dire que cet événement tombe mal. Le premier réseau social est en effet, à cette époque, en train de boucler une levée de fond importante, destinée à renforcer son actionnariat privé et à trouver de l'argent frais pour investir : Facebook s'ouvre ainsi à Goldman Sachs (qui prend environ 1 % du capital) et Digital Sky Technologies, qui rejoignent Microsoft (ce dernier avait investi 267 millions en 2007).
Il est intéressant de constater que, si cet événement a été abondamment commenté par les media, c'est avant tout pour débattre des problèmes de sécurité du premier media social mondial et des dangers que celui-ci fait courir aux informations personnelles qu'il expose. Et si cette question reste cruciale, nous, "reflets.info" pensons que le caractère dérangeant de ce hack tient autant au contenu du message posté qu'aux failles de l'application qu'il révèle. Donnons donc la parole aux auteurs de ce hack :
« Let the hacking begin : If Facebook...