Démocratie 3.0 : pas bien loin du Reich V.4…
(C'est la lecture de cet article sur une "entreprise innovante" qui a été le moteur de ce que vous allez lire. Parce qu'à force d'observer le "monde libre" glisser en douce vers les pires sociétés totalitaires futuristes, il y a un moment où on a envie de dire stop…) "Demain, des robots patrouilleurs pour seconder les vigiles". C'est le titre de l'article. Chouette alors, j'en rêvais et ils l'ont fait, elle est pas belle la vie moderne du début du XXIème siècle ?
(C'est la lecture de cet articlesur une "entreprise innovante" qui a été le moteur de ce que vous allez lire. Parce qu'à force d'observer le "monde libre" glisser en douce vers les pires sociétés totalitaires futuristes, il y a un moment où on a envie de dire stop…)
"Demain, des robots patrouilleurs pour seconder les vigiles". C'est le titre de l'article. Chouette alors, j'en rêvais et ils l'ont fait, elle est pas belle la vie moderne du début du XXIème siècle ? Tellement chouette qu'un peu d'histoire est nécessaire. Parce que tout est lié, rien n'est anodin, il n'y a pas de fumée de sans feu et les carottes sont (presque) cuites.
La loi sur la rétention de sureté : un signe des temps
La Démocratie dont parlait Kitetoa dans un article récent trouve encore quelques soutiens prêts à la défendre, c'est vrai. Mais la Démocratie c'est aussi (et surtout) un consensus sociétal scellé par des lois (liberticides parfois, si, si). On peut avoir une Démocratie (remarquez le grand "D") qui exécute des adolescents ou des malades mentaux par exemple. C'est le cas de la plus grande d'entre toutes, les United State of America. Une autre démocratie peut décider de voter une loi de "rétention de sûreté", c'est-à-dire d'allonger au delà de la peine, l'emprisonnement de celui qui aura pourtant payé sa dette en subissant son…emprisonnement. Cette forme de refus...