CyberDawn : Les États-Unis sur le chemin de la Cyber-Guéguerre
Les États-Unis, première puissance mondiale , la première armée du monde, se serait-elle laissée distancer dans la Cyber-Course vers la Cyber-War ? Quand on possède sept flottes de combat positionnées sur tous les océans du monde, que l'on mène une guerre sur quatre terrains d'intervention en même temps, on est peut-être un peu imbu de soi-même. Du coup, il est difficile d'imaginer être distancé militairement par qui que ce soit. Et, il faut bien le dire, on a aussi la tête occupée ailleurs.
Les États-Unis, première puissance mondiale , la première armée du monde, se serait-elle laissée distancer dans la Cyber-Course vers la Cyber-War ?
Quand on possède sept flottes de combat positionnées sur tous les océans du monde, que l'on mène une guerre sur quatre terrains d'intervention en même temps, on est peut-être un peu imbu de soi-même. Du coup, il est difficile d'imaginer être distancé militairement par qui que ce soit. Et, il faut bien le dire, on a aussi la tête occupée ailleurs. Puis, tout d'un coup on se rend compte que nos camarades de jeu semblent investir un nouveau terrain. Un terrain qui nous avait échappé. Presque sans nous prévenir. Ou en tout cas, sans avoir l’élémentaire décence de nous avertir et de nous attendre.
Mais qu'importe. Nous sommes plein de ressources. Nos guerriers sont forts et impitoyables. Et notre doctrine militaire nous met à l'abri des surprises. Depuis plusieurs années maintenant, nous nous sommes adaptés, transformés. Nous avons su nous débarrasser de la lourdeur de la machine étatique. Entreprises de sécurité, mercenaires étrangers, sous-traitance : ils veulent tous faire la guerre, alors pourquoi ne pas les utiliser ? Ils nous apportent la flexibilité nécessaire. Nous garantissent un haut degré d'adaptation.
Cette doctrine semble fonctionner pour les gros canons, alors pourquoi ne fonctionnerait-elle pas pour le CyberSpace ?
Le CSFI aux manettes
Le CSFI ( Cyber Security Forum Initiative) se définit...