Coucou... Tu veux voir mon gros Armageddon ?
Reflets ne peut (malheureusement) pas être partout (j'y reviendrai dans un prochain article) et pendant que nous nous occupions du DPI en Syrie et en Libye, nous avons négligé l'économie qui continue de faire des blagues. Ces derniers jours, les bourses ont replongé durement, les banques sont au plus mal, la peur revient et les politiques continuent de marteler que #toutvanbien. Eh bien non, justement, tout ne va pas bien.
Reflets ne peut (malheureusement) pas être partout (j'y reviendrai dans un prochain article) et pendant que nous nous occupions du DPI en Syrie et en Libye, nous avons négligé l'économie qui continue de faire des blagues. Ces derniers jours, les bourses ont replongé durement, les banques sont au plus mal, la peur revient et les politiques continuent de marteler que #toutvanbien.
Eh bien non, justement, tout ne va pas bien. Et honnêtement, Reflets ne voit que deux solutions dans un avenir plus ou moins proche. Et une seule sur le long terme.
On ne va pas refaire ici toutes les démonstrations déjà effectuées dans d'autres papiers sur ce sujet. Partons du principe que vous avez suivi les épisodes précédents sur Reflets.
C'est amusant hein, depuis la grosse crise d'il y a quelques semaines, ça allait un peu mieux (ou un peu moins mal, selon comment on voit les choses). Les journalistes titraient dont sur le "rebond", le "retour au calme", etc. Se contentant de regarder la situation au jour le jour et d'en rendre compte sans tenter la moindre prospective. Pourtant, la prospective, sur ce sujet, s'est d'une simplicité désarmante.
A court termes, deux solutions :
1) les politiques admettent la réalité. C'est foutu, l'Europe est en faillite sur tous les plans (économique et politique). Il faut en tirer les conséquences.
2) Les politiques ne peuvent (veulent?) admettre la réalité. Ils sortent 200 lapins de leurs chapeaux...