Ayrault et le TSCG : WTF ?
Ils sont forts ces socialistes, très forts. Leur premier ministre le formidable JMA vient de vendre le TSCG à l'assemblée nationale avec une belle conviction. C'était beau et émouvant à la fois. Mais que disaient-ils tous ces socialistes il y a moins d'un an, à propos de la règle d'or qu'ils jurent ne pas voter aujourd'hui avec le TSCG ? Remember… Ah ils en voulaient pas du TSCG, ça c'est certain.
Ils sont forts ces socialistes, très forts. Leur premier ministre le formidable JMA vient de vendre le TSCG à l'assemblée nationale avec une belle conviction. C'était beau et émouvant à la fois. Mais que disaient-ils tous ces socialistes il y a moins d'un an, à propos de la règle d'or qu'ils jurent ne pas voter aujourd'hui avec le TSCG ?
Remember…
Ah ils en voulaient pas du TSCG, ça c'est certain. Mais parce que le TSCG d'aujourd'hui, ce n'est donc plus du tout une règle d'or, non, non, non.
Il suffit de le lire pour s'en rendre compte. Petit passage savoureux :
a) la situation budgétaire des administrations publiques d'une partie contractante est en équilibre ou en excédent;
b) la règle énoncée au point a) est considérée comme respectée si le solde structurel annuel des administrations publiques correspond à l'objectif à moyen terme spécifique à chaque pays, tel que défini dans le pacte de stabilité et de croissance révisé, avec une limite inférieure de déficit structurel de 0,5 % du produit intérieur brut aux prix du marché. Les parties contractantes veillent à assurer une convergence rapide vers leur objectif à moyen terme respectif. Le calendrier de cette convergence sera proposé par la Commission européenne, compte tenu des risques qui pèsent sur la soutenabilité des finances publiques de chaque pays. Les progrès réalisés en direction de l'objectif à moyen...