We, the people of the Internets and the World
Vous n'y croyez pas. C'est normal. Vous appartenez à une autre génération. A un autre temps. Vous n'avez pas vu venir la profonde transformation de cette société. Bien sûr, cette transformation n'en est qu'à ses débuts et vous pensez encore pouvoir renverser la situation à votre profit. Sauver votre système. Faire perdurer cette oligarchie qui vous sert si bien. Vous disposez depuis des siècles d'une matière première abondante. Docile, malléable. Exploitable sans limites : les peuples.
Vous n'y croyez pas. C'est normal. Vous appartenez à une autre génération. A un autre temps. Vous n'avez pas vu venir la profonde transformation de cette société. Bien sûr, cette transformation n'en est qu'à ses débuts et vous pensez encore pouvoir renverser la situation à votre profit. Sauver votre système. Faire perdurer cette oligarchie qui vous sert si bien.
Vous disposez depuis des siècles d'une matière première abondante. Docile, malléable. Exploitable sans limites : les peuples.
Cette exploitation, coûte que coûte, pour assurer des profits jamais suffisants est particulièrement visible dans vos pathétiques tentatives de "sauver" des économies agonisantes. En Grèce, au Portugal, en Islande, en Irlande, Aux Etats-Unis. Vous faites payer le prix de la continuité aux plus démunis. Vous les stigmatisez. Vous les faites apparaître comme des "parasites" profitant des aides sociales.
Vous qui ne manquez de rien. Qui n'avez jamais eu à vous soucier de trouver les ressources nécessaires pour faire vivre les vôtres.
Vous nous dites que des sacrifices sont nécessaires pour remonter la pente. Pour remettre les économies sur les rails de la croissance. Mais qui peut croire que l''on peut croître sans fin ? Le système économique et financier est arrivé au bout de ses possibilités. Il s'est auto-détruit. Comme toute chose, il a un cycle de vie. A ce stade d'évolution, vous ne pouvez plus le sauver sans que le...