Vie (et mort ?) d’un projet
Dans la com’, on fait des “post-mortem”. C’est à dire que l’on analyse, après coup, ce qui a marché et ce qui n’a pas marché sur un projet. La plupart du temps, on s’intéresse surtout au fait que les gogos (vous et moi, en d’autres mots, le consommateur) aient ou non mordu à l’hameçon du message qui leur a été servi. Pas trop au fait que l’on ait réalisé un site utile ou pas au visiteur. Faisons tout de même l’exercice, pour une fois.
Dans la com’, on fait des “post-mortem”. C’est à dire que l’on analyse, après coup, ce qui a marché et ce qui n’a pas marché sur un projet.
La plupart du temps, on s’intéresse surtout au fait que les gogos (vous et moi, en d’autres mots, le consommateur) aient ou non mordu à l’hameçon du message qui leur a été servi. Pas trop au fait que l’on ait réalisé un site utile ou pas au visiteur.
Faisons tout de même l’exercice, pour une fois.
Un gentil client potentiel annonce vouloir refondre l’un de ses sites. Il a raison. C’est une vieillerie qui n’a pas bougé depuis des années. Le graphisme est abominable. La charte graphique inexistante. On s’y perd tant il n’y a aucune cohérence entre les rubriques. Il est plein de contenu et apporte toutes sortes de réponses aux visiteurs. Mais ce contenu se trouve en grande partie sur d’autres sites du groupe. Bref, il faut réorganiser le contenu, sa présentation, et créer une charte graphique. Deux contraintes clairement exprimées : le client veut que son contenu soit très bien référencé dans les moteurs de recherche et le site doit reposer sur Schprountz (CMS libre). Corollaire : il y a de la base de données.
Pour l’instant, rien n’est signé, on participe à l’appel d’offres informel.
Première réunion.
Une bonne dizaine de personnes autour de la table. Comme toujours, quel que soit le projet ou le client, c’est une “compet’” super importante. Il faut la gagner.
Les constats, les platitudes et les délires créatifs (de l’art on vous dit…)...